C’est, en tonnes, le volume d’équipements issus des JOP24 auquel muto aurait donné une seconde vie, en permettant d’éviter l’émission de plus de 330 tonnes eqCO2. Sélectionné́ par Paris 2024 pour répondre aux objectifs environnementaux fixés pour ces Jeux (à savoir réduire de moitié́ leur empreinte carbone par rapport aux éditions de Londres 2012 et de Rio 2016) l’expert du réemploi solidaire des aménagements événementiels éphémères a assuré́ le démontage de 13 sites emblématiques de la compétition. L’intervention de muto s’est étendue sur 7 mois, entre avril et octobre 24, avec en dernière phase la livraison des matériaux récupérés aux 58 structures bénéficiaires situées partout en France (La Ressourcerie du Cinéma, Pimp Your Waste, Lycée des métiers d’art, Institut du Val Mandé…). « Nous sommes honorés d’avoir pu travailler sur un événement aussi grandiose qu’emblématique que sont les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris. L’enjeu était de taille, mais force est de constater que l’ensemble des acteurs mobilisés sur l’événement, dont muto a eu la chance de faire partie, ont su le relever avec brio. Maintenant, c’est toute l’organisation du « post Jeux » qui bat son plein. Et nous sommes convaincus qu’il il y aura bien un avant et un après JOP 2024 ! Non seulement pour muto, pour qui les Jeux constituent un formidable tremplin, mais également pour l’ensemble de la filière événementielle. Les Jeux et leur envergure considérable sont la preuve qu’il est bel et bien possible de concevoir des modèles événementiels plus durables. » déclare Vincent Raimbault, Fondateur de muto.
Crédit photo : Andy Cheung/Getty Images (Muto)